jeudi 25 mars 2010

LA FRONTIÈRE IN-VISIBLE : ÉCRITURES DE LA MIGRATION

ALEPH – Arts et Littérature : Poétique et Herméneutique
Composante de l’IRIEC – Institut de Recherche Intersite Études Culturelles
Séminaire 2009-2010



LA FRONTIÈRE IN-VISIBLE : ÉCRITURES DE LA MIGRATION

CONFÉRENCE de ANGÈLE PAOLI
(poétesse et écrivaine)

Le jeu des frontières : ou comment déjouer les mirages lotophages d’une île

Vendredi 2 avril 2010, 16H30
salle A208 (bibliothèque du département d’Italien)

Après la conférence suivra une lecture de textes poétiques d’Angèle Paoli et de Flaviano Pisanelli avec accompagnement musical de Angela Biancofiore au luth.

vendredi 12 mars 2010

Licence d’Italien

Voulez-vous approfondir vos connaissances sur la langue et la culture italiennes ?
Voulez-vous connaître l’histoire de la civilisation italienne ?
Voulez-vous apprendre à connaître l’extraordinaire panorama artistique de l’Italie ?

Alors le diplôme de Licence LLCER d’italien est fait pour vous !
Les cours de Licence d’Italien élargissent l’horizon de vos connaissances à plusieurs niveaux :

• Cours de langue : vous allez apprendre à traduire de l’italien (textes anciens et modernes), vous allez améliorer votre expression orale en italien et aborder les questions liées à la grammaire. Les étudiants en 3ème année pourront étudier un semestre en Italie grâce au programme européen ERASMUS

• Cours de civilisation : la culture italienne est au cœur de ces cours qui illustrent l’histoire de l’Italie, le patrimoine artistique italien, la musique, le théâtre,…

• Cours de littérature : vous allez connaître les plus grands poètes et romanciers italiens, découvrir la culture italienne à travers ses protagonistes des origines jusqu’à nos jours. Vous allez également rencontrer des écrivains contemporains que le Département d’Italien invite grâce à la collaboration active avec l’Institut culturel italien de Marseille.

• Cours de cinéma italien : découvrez l’Italie et la langue italienne grâce aux grands cinéastes italiens. Une collection importante de films italiens est à la disposition des étudiants à la bibliothèque de Département

• Cours d’Art italien et analyse des langages artistiques : depuis sa fondation, le Département d’Italien de Montpellier privilégie l’analyse des langages artistiques. Les étudiants seront en mesure de connaître les différentes méthodes d’analyse grâce à une vaste bibliographie et surtout grâce à la pratique (projection de film, de diapositives, visites guidées, voyages organisés). Parmi nos anciens étudiants figurent aujourd’hui des conférenciers qui présentent au grand public les courants les plus importants de l’art italien.


Avignon, Petit Palais, visite de l’exposition Simone Martini et les peintres siennois avec les étudiants de Licence

Débouchés

Après la licence nos étudiants s’acheminent vers différents métiers :

• L’enseignement : notre département prépare les étudiants aux concours de l’Education Nationale (CAPES et Agrégation) avec de très bons résultats par rapport à la moyenne nationale (5 admis à la session 2009 pour 15 inscrits et 55 postes au niveau national) ;

• Les métiers de la culture : nos anciens étudiants travaillent dans les mairies comme chargés de mission dans le domaine de la culture ; nos étudiants peuvent également s’orienter vers les métiers liés à la valorisation du patrimoine culturel (des stages rémunérés sont mis en place par le Département).

• Métiers de la traduction

• Concours dans la fonction territoriale

• Entreprise : la présence de la Chambre de commerce italien à Montpellier permet à nos étudiants de s’orienter également vers le monde des échanges économiques entre l’Italie et la France. Le directeur de la Chambre de Commerce Italien, M. Faggioni intervient dans le cursus de la licence avec des cours spécifiques et un accompagnement dans la recherche de stages.

Cours Ouverture Premier semestre Licence d’Italien LLCER

Cours Ouverture Premier semestre Licence d’Italien LLCER

Mme Biancofiore

E34ITM1

Analyse des formes artistiques et littéraires

Littérature et cinéma : Le Guépard de Giuseppe Tomasi di Lampedusa (roman), et son adaptation cinématographique par Luchino Visconti

Le cours propose une lecture du roman de Tomasi di Lampedusa à travers plusieurs niveaux d’analyse :
- Histoire de l’Italie et Risorgimento
- Relations Sud-Nord dans la culture italienne des XIXe et XX siècles
- Théorie du roman et construction des personnages
- Adaptation cinématographique

Tomasi di Lampedusa Giuseppe, Il gattopardo,[1958] Milano, Feltrinelli, 1999.
Visconti Luchino, Il gattopardo, [1963], film DVD.


Cours Ouverture Second semestre Licence d’Italien LLCER

E44ITM1

Mme Biancofiore

Analyse des formes artistiques et littéraires :
Cinéma et peinture. Pasolini et le Maniérisme

Jeudi 13h15-14h45
salle206 A
Mme Biancofiore

Le cours aborde les relations entre peinture et cinéma dans le panorama culturel italien. En particulier, les étudiants sont amenés à analyser les œuvres du Maniérisme (Pontormo et Rosso fiorentino) qui ont joué un rôle essentiel dans le cinéma de Pier Paolo Pasolini.

Bibliographie

Antonio Pinelli, La belle manière. Anticlassicisme et maniérisme dans l'art du XVIe siècle, Le livre de poche, 1996.
Pascale Delteil, Rosso fiorentino pittore della maniera, Montpellier, PULM, 2007.
Angela Biancofiore, Pasolini, Palermo, Palumbo, 2003.
Francesco Galluzzi, Roba di cui sono fatti i sogni. Arte e scrittura nella modernità, Milano, Mimesis, 2004.

mercredi 10 mars 2010

Les joutes poétiques de Sardaigne

Conférence ouverte au public dans le cadre de l’enseignement d’ethnomusicologie, UPV
Les joutes poétiques de Sardaigne












Maria MANCA
(Université PARIS 7-Diderot-Grands-Moulins)
Jeudi 18 mars 2010
de 17h15 à 19h15 / Bât C, Salle 020 (Salle des Colloques)

STAGE DE “COMMEDIA DELL’ARTE”

Lundi 15 mars 2010
De 10h à13h et de 14h à 17h
En D 105

Avec Valeria Emanuele
De la compagnie les Têtes de Bois – Montpellier Inscriptions à la bibliothèque d’italien A208

mardi 9 mars 2010

La frontière in/visible : écritures de la migration

ALEPH (Arts et Littérature : Poétique et Herméneutique)
IRIEC Institut de Recherche Intersite Études Culturelles
Séminaire 2009-2010

« La frontière in/visible : écritures de la migration »

Jean-Claude MIRABELLA
La représentation cinématographique :
mouvement, illusion et illusion du mouvement

Matthias QUEMENER
Les frontières du sacré :
processus culturel de différenciation et division de l’espace social

Vendredi 12 mars 2010
16h30-18h30
Salle A208 Bibliothèque d’Italien

vendredi 5 mars 2010

In Abruzzo i raggi del Sole illuminano la Morgia...grazie a Costas Varotsos!

A Gessopalena i raggi del Sole illuminano La Morgia: una roccia, una montagna ferita dall’uomo e guarita da un artista.


Si puo’, passando per infinite complicazioni, arrivare alla conquista suprema, quella della semplicita’; mi pare questa la capacita’, non la sola, si capisce, piu’ vera, piu’ intrinsecamente vitale e nutritiva di un artista come Costas Varotsos, nato nel 1955 ad Atene, considerato tra i protagonisti dell’Arte greca contemporanea.
Complicazioni sia concettuali (dell’artista) sia piu’ propriamente ambientali (la natura dove opera l’artista).
Significativa a questo proposito, un vero e proprio exemplum, e’ l’opera "La Morgia", realizzata agli inizi del 1997 nella zona piu’ alta del territorio di Gessopalena.

Quest’opera e’ stata fortemente voluta da Antonio De Laurentiis, ideatore e promotore del progetto "Campagna d’artista", in attuazione nel comprensorio del Sangro-Aventino. Portata a termine con l’intervento della Societa’ Italiana Vetri di Venezia e la Bayer, fornitrice del silicone necessario ad incollare le lastre di cristallo incastrate in cornici d’acciaio.
L’opera, alta circa 11 metri e larga 20, porta a nuove e piu’ significative conseguenze, senza peraltro alcuna statica radicalizzazione, il percorso che l’artista aveva gia’ incisivamente tracciato con opere come "Il Poeta" o, ancora meglio, "Il Corridore".

Costas Varotsos usa come materiale d’elezione il vetro: come dire che e’ un artista che lavora con la luce. "Noi ci proclamiamo signori della luce" amavano ripetere i futuristi; e nell’artista greco che ha amato e studiato Boccioni, e che in alcune opere -una su tutte: Il Corridore- dichiara le tangenze con la dinamica futurista, questa frase ritrova tutta la sua valenza piu’ alta e significativa.

Chi puo’ si rechi a Gessopalena e aspetti la luce dell’alba davanti alla Morgia: vivra’ un’esperienza memorabile, rapito dall’estasi e dall’estetica, che ripaghera’ del viaggio.

Il lavoro e’ costituito da lastre di vetro lunghe 2 metri, larghe 17 cm. con uno spessore di 8 mm., poste a riempire l’affossamento a cuneo formatosi sulla sommita’ di una roccia alta 130 metri che appare come la punta di una lancia preistorica che fuoriesce dal terreno, visibile a lunga distanza nel territorio chietino. La Morgia (questo il nome della roccia) e’ stata deturpata dopo l’ultima guerra in conseguenza dell’attivita’ estrattiva di una vecchia cava. Ad essa sono legate varie antiche leggende, come quella di Ercole (cristianizzata in Sansone) che vi impresse il proprio ginocchio su una lastra calcarea purtroppo andata distrutta. Pur se ben armonizzata col territorio nessun rapporto lega l’opera di Costas Varotsos con le sterili promesse della Land Art: questo lavoro e’ una carezza alla natura deturpata dall’uomo, una specie di riparo al danno prodotto, il vetro si trasforma in canto, ed e’ un canto di speranza, di bellezza. L’opera d’arte e’ stata realizzata con l’intervento straordinario, per capacita’ e passione, del costruttore locale Antonio Troilo e delle sue valide maestranze; non ammette spettatori distratti, li annulla in un rapporto che, piu’ e oltre un dialogo, si trasforma in rapporto che mette in luce la verita’ latente. Qui l’arte e’ davvero capace di far avventurare lo spettatore in una ricerca di se stesso e delle sue possibilita’. Sembra di trovarsi dinanzi ad un’opera simile alle piramidi o al Pantheon per grandiosita’ e forza. Un poeta greco sicuramente caro a Varotsos, Konstantinos Kavafis, ha scritto:

"Ma quello specchio antico gioiva adesso
e si gloriava di aver accolto in se’
per qualche istante la perfetta bellezza".

A Gessopalena questi versi ce li avete davanti. L’impianto architettonico (nell’artista greco i legami con l’architettura sono evidenti e dichiarati) non ha nessun scopo ornamentale, ne’ l’ambiente e’ "costretto" a far da sfondo all’opera stessa che entra a far parte di un processo di relazioni, di rimandi assolutamente assimilabili.













Si parlava all’inizio di semplicita’ che esclude l’operazione anche da qualsiasi strategia di mercato o intento museale e la include in una sorta di "dinamismo universale", aperto a qualsiasi forma di utenza e capacita’ interpretativa; caratteristiche, queste, che Varotsos aveva gia’ sottolineato nell’opera "Il Corridore" attualmente installata nella Hilton Square di Atene, dove risulta splendidamente aperto il rapporto tra il senso di movimento dell’opera e il tessuto urbano, in una facilita’ e felicita’ di comunicazione che rendono l’opera genuinamente e veracemente popolare.

Quest’artista, che tra l’altro ha vissuto in Abruzzo sette anni della sua giovinezza (precisamente a Francavilla Al Mare), e’ stato presente in numerose importanti mostre internazionali, tra cui la Biennale di Venezia 1995, e nelle gallerie Leiman di New York, Persano di Torino, Ileana Tounta di Atene, L’Arco di Rab e Sprovieri di Roma, Ruben Forni di Bruxelles ed altre.

In terra d’Abruzzo, dove ha mosso i primi passi d’artista tra la fine degli anni settanta e i primi anni ottanta, e’ stato presente nel 1996 alla Biennale di Penne e a Fuori Uso. Nel 1997 le sue opere sono state esposte a Citta’ Sant’Angelo nelle mostre "Citta’ Aperta" e "La Bella Addormentata". Attualmente, nel quadro del work in progress sulla Maiella "Campagna d’artisti", e’ molto ben allestita nel castello medioevale di Roccascalegna la prima mostra antologica di Varotsos in Italia, in cui si innalza la poetica che da sempre ha accompagnato il suo percorso artistico, segnato soprattutto dalle grandi installazioni "in situ".

Cosi’ chiaro eppure cosi’ allusivo, laico dai connotati mitici e a volte fisici, vale per Costas Varotsos cio’ che Boccioni scriveva nel 1908 nel suo "diario":
"Sono per tutto cio’ che e’ grandioso, sinfonico, sintetico"
e, piu’ avanti:
"Non posso chiudere senza una preghiera all’ignoto".
Preghiera, aggiungiamo, che e’ anche e soprattutto un messaggio di speranza per l’uomo, di fiducia nelle sue possibilita’.
Sulla Morgia ora sembra risplendere l’occhio di un dio a vegliare le sorti del mondo.

Testo di Renato Bianchini.

jeudi 4 mars 2010

Giornata mondiale della poesia

“Viandando qui e altrove”
Rapsodia poetica contemporanea di italiani migranti e migranti in Italia

GIORNATA MONDIALE DELLA POESIA
con il Patrocinio della Commissione Nazionale Italiana per l’UNESCO
AUDITORIUM PARCO DELLA MUSICA – SALA PETRASSI
V.le P.De Coubertin, 30 - ROMA
Martedì, 23 marzo ore 21

COSIMO CINIERI
in
VIANDANDO QUI E ALTROVE
rapsodia poetica contemporanea di
italiani migranti e di migranti in Italia
partecipazione straordinaria di
MICHIKO HIRAYAMA

e con
GIANNI RICCHIZZI: sitar
GIANCARLO SCHIAFFINI: trombone
MOHSSEN KASIROSSAFAR: zarb, daff, voce
SIMONETTA IMPERIALI: zarb, daff, dohol
GIUSEPPE FRANA: barbat, robab, zarb
ROBERTO BELLATALLA: contrabbasso
SANJAY KANSA BANIK: tabla
SALUA: danza del ventre, danza del candelabro

ricerca e selezione dei testi
a cura di FILIPPO BETTINI
per l’Ass.Cult.ALLEGOREIN
con la collaborazione di Mirna Gvozdenović
ideazione, elaborazione drammaturgica e regia
IRMA IMMACOLATA PALAZZO

Martedì 23 marzo 2010 ore 21 a Roma, presso l’Auditorium Parco della Musica-Sala Petrassi, in occasione della Giornata Mondiale della Poesia, con il Patrocinio della Commissione Nazionale Italiana per l’UNESCO, in coproduzione con Musica per Roma e con la collaborazione di Fondazione Roma – Poesia, e il Patrocinio del Senato della Repubblica, Regione Lazio-Assessorato alla Cultura, Provincia di Roma, Comune di Roma-Assessorato alle Politiche Culturali, “Vagabonda Blu” presenta Cosimo Cinieri in VIANDANDO QUI E ALTROVE-rapsodia poetica contemporanea di Italiani migranti e di migranti in Italia, ideazione, drammaturgia e regia Irma Immacolata Palazzo.

La migrazione è oggi argomento quotidiano, vissuto e giudicato nei modi più disparati, ma sempre con la disperante speranza che si possa individuare una soluzione. La poesia dei nostri migranti e dei migranti che arrivando in Italia hanno imparato l’italiano, supera, non nei contenuti ma nel suo essere poesia, le divisioni e invoglia a non chiudersi nei propri recinti, a fare della diversità una ricchezza e ad accettare un mondo in cambiamento con lucida serenità. Il contatto tra variegate creatività genera l’emozione di riconoscersi. L’emozione porta la conoscenza e serve a conservare la memoria.

Viandando presenta una rosa di 22 poeti bilingue che hanno la caratteristica di scrivere nella lingua madre e in quella di adozione: 11 poeti italiani che scrivono e pubblicano in altre nazioni e 11 poeti stranieri che scrivono anche in italiano.

Migranti Italiani: si parte dal dialetto molisano di Giose Rimanelli (Stati Uniti) per approdare all’inglese di Adeodato Piazza Nicolai. I temi ci sono tutti: lo strazio della partenza vissuta come morte per Antonio Aliberti (Argentina), le cui radici sono rimaste nel Mediterraneo e che si porterà sempre dietro quel lui bambino morto in Sicilia all’età di 12 anni; il disagio dell’adattamento al Nuovo Mondo per Rosa Cappiello, operaia tessile a Sydney ma, dopo la pubblicazione dei suoi libri, invitata ad insegnare all’Università; la tenerezza per le figure più vicine: il padre, il compaesano generoso di ‘vino fatto in casa’ (Delia De Santis-Canada); il desiderio d’un impossibile ritorno e il dolore della ‘perduta patria’ di Marco Lucchesi, brasiliano, ma visceralmente legato alla sua terra d’origine. E ancora: il momento dell’abbandono amoroso di Gino Carmine Chiellino (Germania) che vive il proprio corpo come un atlante su cui si possono ‘tracciare mari e continenti’, o il capodanno di Giancarlo Pizzi (Francia), ‘ospite sempre di altri’; la consolazione di Flaviano Pisanelli (Francia) con la sua preghiera che ‘scioglie un orizzonte’, fino alle ardite sperimentazioni di Philippe Di Meo, emerito professore a Parigi.

Migranti in Italia: docenti, grandi scrittori riconosciuti. Quasi tutti militanti in prima linea: dal rumeno Mihai Mircea Butcovan che si occupa di tossicodipendenze e interculturalità, all’impegno politico, sociale e culturale di Ndjock Ngana (Camerun), rivolto alla conservazione delle culture africane, alla brasiliana Marcia Teophilo, candidata al Nobel, paladina di appassionate campagne per la salvaguardia dell’Amazzonia.

I versi di Butcovan abbracciano un vissuto a volte doloroso: orchestrali in attesa di espulsione, badanti, puttane. Nonostante la disperazione, invece, il cinese Mao Wen trova l’amore e il marocchino Mohamed Khalil Elkhchin incontra l’amata in qualche sogno. Anche la nostalgia è raccontata dal poeta albanese, Gezim Hajdari, attraverso l’amore, che di volta in volta diviene sogno struggente per la donna agognata, tenerezza per la madre che aspetta il ritorno del figlio ricco, passione erotica per la terra lontana. C’è poi la poesia civile: accorata nenia per l’Africa che muore; ma ‘sempre verde (è) l’albero della vita’ di Latif Al Saadi. Il brasiliano Murilo Mendes, poliedrico e visionario sperimentalista, ci regala una ballata dal sapore trecentesco. Molto forte il legame con Roma: ‘il diario romano’ del giapponese Sonu Uchida scritto in delicati haiku, la solitudine del bosniaco Predrag Matvejevic condivisa con le statue di Villa Borghese o l’evocazione di Tincoa, divinità amazzonica, visto ad un semaforo di Ponte Sisto e pregato di prestare le sue ali per raggiungere l’amata.

Due omaggi, per la parte italiana a Rodolfo Wilcock, uno dei più noti poeti argentini, pluripremiato, emigrato nel ’58 e morto in Italia, il cui italiano era paragonato da Roberto Calasso ad ‘una piccola isola tropicale’ e a Predrag Matvejevic, nominato professore di Slavistica a La Sapienza per ‘chiara fama’.

Questi poeti scrivono senza alcun tramite nella ‘lingua dell’ospitalità’, Jacqueline Risset ha magistralmente tradotto in francese ‘La Divina Commedia’. E’ dagli anni ’90 che si parla di letteratura migrante italofona. La scelta di scrivere in italiano è una condizione nuovissima dal punto di vista interculturale.

Nella scelta si è stati coadiuvati dal prof. Filippo Bettini, docente di letteratura italiana e presidente dell’Associazione culturale Allegorein, con la collaborazione di Mirna Gvozdenović.

La voce del rapsodo Cosimo Cinieri s’impatta in un rapporto osmotico con i testi che Irma Immacolata Palazzo monta e rismonta con una sapienza teatrale che cancella il formalismo della lettura e permette di offrire al pubblico un ritratto vivo dei poeti, le loro storie, la loro anima.

Impreziosisce la serata la partecipazione del soprano Michiko Hirayama, una vera star, una delle voci più amate dai compositori di musica contemporanea e d’avanguardia che le hanno dedicato più di 100 opere da lei eseguite nei più importanti festival musicali internazionali.

Ideale coprotagonista è un ensemble interraziale di 7 prestigiosi solisti: Gianni Ricchizzi-sitar, Giancarlo Schiaffini-trombone, Mohssen Kasirossafar-zarb, Simonetta Imperiali-daff, Giuseppe Frana-barbat, Roberto Bellatalla-contrabbasso, Sanjay Kansa Banik-tabla. Gli strumenti di diverse parti del mondo creano una musica che risente delle suggestioni delle varie culture, dando origine ad un sound del tutto nuovo. Sui versi d’amore e di passione erotica, un sole altramonto accoglierà Salua con la sua danza del ventre.

Con le immagini proiettate su uno schermo rotondo che diventerà Sole e diventerà Luna si racconterà contestualmente la storia della migrazione degli Italiani verso altri paesi dall’800 in poi e l’immigrazione in Italia degli altri popoli che, negli ultimi anni, affacciandosi sulle sponde dei nostri mari, si sono via via uniti e mescolati a noi nel corso dell’ultimo ventennio.

VIANDANDO QUI E ALTROVE è in programma negli Istituti Italiani di Cultura di Strasburgo, Il Cairo e Tel Aviv per la Settimana della Lingua Italiana 2010.

Biglietti: 10 euro; ridotto studenti e giovani sotto i 26 anni: 5 euro
Info 06-80241281
http://www.auditorium.com/

BIGLIETTI: 10 EURO; STUDENTI 5 EURO
Promozione e segreteria organizzativa
Inventa Eventi srl tel.06/98188901
Carla Caiafa 338/6812902 carlacaiafa@inventaeventi.com
http://www.inventaeventi.com/

Ufficio stampa
Margherita Fusi cell. 3387488465 e-mail margherita.fusi@fastwebnet.it
Paola Rotunno cell. 3393429716 e-mail paolasilvia.rotunno@fastwebnet.it

Ufficio stampa Musica per Roma tel. 06-80241574 – 231 – 228 – 261
ufficiostampa@musicaperroma.it

Prochains évenements

Présentation du film LE REVE ITALIEN
de Michele Placido
par Jean-Claude MIRABELLA (Univ. de Montpellier III)
Mercredi 10 mars à 19h50 au Cinéma Diagonal Montpellier

Conférence de Maria Manca (Université de Paris VII)
Les joutes poétiques de Sardaigne
Jeudi 18 mars 2010 à 17h15 C020 Université Paul-Valéry

Conférence de Francesco Galluzzi
Le cinéma italien et la peinture
Mercredi 12 mai 2010 à 15h15 C020 Université Paul-Valéry

Journée d’études La frontière in/visible : écritures de la migration
Jeudi 20 mai 2010 à 9h00-18h00
salle Jourda Bât. de la Recherche Université Paul-Valéry

Fondazione Centro Italiano di Studi sull'Alto Medioevo - Spoleto


LVIII Settimana di Studio
Le relazioni internazionali nell’alto medioevo

Spoleto 8-12 aprile 2010
Cerimonia inaugurale, Giovedì 8 Aprile, ore 10,30
Teatro Caio Melisso - Spoleto
per maggiori informazioni clicca qui

mardi 2 mars 2010










Salon Travail Avenir Formation « TAF »

Du 3 mars 2010 au 4 mars 2010
Parc des Expositions de Montpellier (Hérault), de 9h30 à 18h00

Pour la troisième année consécutive la Région relance les salons Travail Avenir Formation (TAF) : des recrutements en direct, l'offre régionale de formation et toutes les informations utiles!

Pour les modalités d'inscription ou toute information sur les salons deux numéros vert à votre disposition

Demandeurs d'emploi, jeunes en poursuite de scolarité : 0800 00 70 70
Chefs d'entreprises, salariés : 0800 00 74 74